Nous connaissons tous un golfeur qui frappe toujours très bien la balle dans le champ de pratique, mais n’arrive pas à la frapper aussi bien lors d’une partie sur le terrain.
La plupart des golfeurs ne pratiquent jamais et ceux qui le font, le font inutilement. Quelques minutes avant une ronde de golf, ils courrent au champ de pratique pour frapper 10 à 20 balles, sans routine préparatoire et sans alignement à une cible spécifique.
Écrit par Mary-Lee Cobick
dans la chronique Le golf
On me demande souvent comment déterminer l’ampleur ou la longueur de l’élan arrière quand on veut frapper un coup de «wedge» moins long que la longueur obtenue avec un élan complet. Par exemple, faire un coup de 60 verges alors qu’un élan complet nous donne 100 verges.
Écrit par Mary-Lee Cobick
dans la chronique Le golf
Lire un coup roulé (putt) ou un vert (green), c’est imaginer, visualiser, prendre une photo mentale. Il faut deviner une ligne où faire partir la balle et s’engager à cette ligne. C’est le chemin sur lequel la balle roulera une fois qu’elle est frappée. Certains «putt» sont droits, mais la plupart courberont beaucoup ou très peu.
Écrit par Denise Lavigne
dans la chronique Le golf
Pour réussir ce coup de golf et assurer une sortie de fosse d’allée, la sélection du bon bâton est plus importante que la technique. Il faut éviter la distance à parcourir et se concentrer sur une sélection de bâton qui assurera un coup en hauteur de façon à survoler la lèvre de la fosse. C’est très fréquent d’observer un golfeur se concentrer uniquement sur la distance à parcourir et voir sa balle rester dans la fosse parce qu’elle a frappé la lèvre.
Après avoir sélectionné le bon bâton, on peut maintenant se concentrer sur la technique de façon à frapper le coup désiré.
Écrit par Mary-Lee Cobick
dans la chronique Le golf